Déontologie

Engagement entre Sandrine Galtier de Saint Christophe et vous.

Respect du client

Pendant le déroulement du travail, je travaille dans l’intérêt et le respect de mon client. Je m’engage donc à vous accueillir dans des conditions confortables, à vous écouter et à établir clairement vos objectifs. A vous expliquer clairement quelles seront les modalités du travail, ainsi que les conditions matérielles de durée, fréquence et montant. Je m’engage à répondre aux éventuelles questions que vous avez concernant le fonctionnement des consultations et de mes compétences: méthodes utilisées, références théoriques, formations, modalités de contrôle professionnel des pratiques, responsabilité civile professionnelle et tout ce qui peut témoigner de mon sérieux et du sérieux de ma pratique.
Si je juge la méthode inadaptée pour vous accompagner, je vous dirige vers un autre professionnel pouvant vous soutenir.

Secret professionnel

Respectant le secret professionnel, je garde le contenu de ce qui m’est révélé pendant les consultations sauf dans le cas suivant [2][3]:
Si, dans votre intérêt j’aborde avec d’autres personnes (conjoint, parents…) des éléments révélés lors de nos rencontres, je le fait uniquement avec votre assentiment explicite.
En parlant d’un cas thérapeutique lors d’une séance de supervision ou de partage entre confrères, je me veille à ce que vous ne puissiez être reconnu et je demande un engagement de secret à mes confrères.
Si des révélations livrées au cours d’une consultation sont incompatibles avec mon éthique de coach et de thérapeute, je dois vous l’indiquer et je peux cesser la relation de travail. Je peux en outre, me considérer comme délivrée de ce secret si je juge que le patient ou des tiers sont en danger et ce dans les limites fixées par la loi.
Je prends en compte les avis du corps médical ainsi que les traitements associés.

Honnêteté et franchise

Je m’engage à respecter votre désir de mettre fin au travail par une dernière consultation et de vous indiquer lorsque c’est le cas, que notre travail est terminé même si vous n’en êtes pas encore conscient.
Pour bien clôturer le travail, j’engagerai une conversation avec vous pour vous inciter à décider de la meilleure façon de terminer le travail.
Je ne vous relancerai pas sans prévenir ou sans accord préalable, sauf pour manifester de l’intérêt pour votre santé quand un risque est ouvert ou pour rappeler le cadre du contrat quand la situation exige cette posture, ou pour relancer un impayé.

Votre engagement

Vous vous engagez à
Prendre connaissance de cette charte déontologique.
Respecter le cadre fixé par Sandrine Galtier de Saint Christophe, en particulier le règlement des séances au prix convenu[1], à la date de consultation, et éventuellement des séances manquées quand elles sont annulées moins de 72h ouvrée à l’avance.

[1] L’article R 1111-24 du code de la santé publique indique que « le psychothérapeute fixe librement le montant de ses honoraires dans le respect du tact et de la mesure. Ils ne font pas l’objet d’un remboursement par l’assurance maladie ».

[2] Article 226-13 du code pénal : « La révélation d’une information à caractère secret par une personne qui en est dépositaire soit par état ou par profession, soit en raison d’une fonction ou d’une mission temporaire, est punie d’un an d’emprisonnement et de 15000 euros d’amende. »

[3] Article 226-14 du Code pénal : Levée du secret professionnel. Aux professionnels de la santé ou de l’action sociale qui informent le préfet et, à Paris, le préfet de police du caractère dangereux pour elles-mêmes ou pour autrui des personnes qui les consultent et dont ils savent qu’elles détiennent une arme ou qu’elles ont manifesté leur intention d’en acquérir une. Le signalement aux autorités compétentes effectué dans les conditions prévues au présent article ne peut faire l’objet d’aucune sanction disciplinaire.A celui qui informe les autorités judiciaires, médicales ou administratives de privations ou de sévices, y compris lorsqu’il s’agit d’atteintes ou mutilations sexuelles, dont il a eu connaissance et qui ont été infligées à un mineur ou à une personne qui n’est pas en mesure de se protéger en raison de son âge ou de son incapacité physique ou psychique.

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