Hello, Bonjour !
Merci pour vos multiples mails et commentaires depuis le mois passé. J’espère que vous avez pris le temps de réfléchir au rôle que vous jouez et dans quelles circonstances ainsi que pour quel objectif vous le faites. Quoi qu’il en soit, je suis enchantée de voir que cela a provoqué des réflexions et des émotions pour un bon nombre d’entre vous.
( Si vous prenez le train en marche et que vous ne savez pas de quoi je parle, allez d’abord lire mon dernier article pour être à jour).
Comme promis, ce mois ci, nous serons focalisé’es sur les solutions possibles pour sortir du schéma infernal explique en mars.
Sans plus attendre en voici quelques unes :
- Prise de conscience.
Dans le film les 50 nuances de Grey ainsi que dans ma vie, tout les patterns se perpétue tant que je ne vois pas mon rôle dans tout ce qui m’arrive.
Lorsque je deviens conscient’e du schéma et du dysfonctionnement avec lequel j’opere, alors tout peut changer. Wooohoooo.
Il m’est enfin possible d’établir les conséquences et le prix que j’ai payé. Je peux ainsi voir que je désire vivre autre chose et peut-être avec d’autres personnes.
S’il n’y a pas de lucidité alors il ne peut pas y avoir d’évolution.
Prendre conscience donc la première étape.
- Responsabilisation
Si je pense que c’est toujours de la faute des autres, je me met en position d’impuissance. Je ne peux alors pas changer ma réalité et ce qui se passe dans ma vie.
Donc lorsque je vois et que je comprends que je crée mes souffrances, comment est-ce que je souhaite y répondre ? Quelles sont donc les actions différentes, qui sortent de mes habitudes, que je décide de mettre en place maintenant ? Qu’est-ce qui me conviendrait mieux ? Qu’est-ce qui me plairait plus ?
Cela inclut mes pensées, mes mots et mes actes.
- Frontière
Quand une frontière n’est pas déterminée par moi, je laisse la place à l’autre pour la définir et l’envahir. Ouuuuuuuuups.
Donc je place une délimitation entre moi et l’autre et je la respecte !
Ce faisant, je me respecte en même temps aussi.
Pour marquer mon territoire, je place mes mains devant moi, comme pour dire stop à quelqu’un et je ressens où et comment cela se diffuse dans mon corps. Ensuite je prends du temps pour savourer, comme pour faire infuser la mémoire de cette expérience dans mon corps.
Bien sur, je le fais souvent pour que poser ma frontière devienne une habitude
- Demande(s)
J’arrête d’attendre que l’autre soit télépathe !
Je prends donc le temps d’entendre mes besoins et mes désirs ET je demande ce que je veux spécifiquement à l’autre.
Je cesse de manipuler l’autre pour qu’il’elle prenne une décision à ma place. Car si je compte sur le fait que l’autre discerne ce que je veux lui faire comprendre, je me mets en position infantile et donc en victime. De plus, en agissant ainsi, je cours le risque d’être blessé’e car si l’autre n’entend pas ce que je veux, je nous mets tous’tes les deux en échec car :
– je déclenche du ressentiment envers l’autre.
– l’autre déclenche de son côté de la colère contre moi pour avoir été berné’e OU il’elle prend pouvoir sur moi tant qu’il elle ne m’a pas donne ce que je veux.
Et si cela ne va pas du premier coup, je réfléchis ce que j’aimerai qui soit autrement et je retente mon coup.
Si la personne à qui je demande ne peux/veux pas me le donner, je demande à quelqu’un d’autre !!!!
Oui oui, il n’y a pas qu’une seule personne sur terre !
Clin d’œil : Vous avez plus de chance que l’autre réponde positivement a votre demande si elle est directe que si vous tentez de manipuler que l’autre vous dise oui. Certaines études psychologiques diraient que si vous demandez, vous avez environ 80% de chance d’obtenir un oui. Alors foncez !
Pour conclure :
En prenant soin de mes besoins, je génère de l’estime de moi !
Et si en plus je le tiens dans le temps, je développe alors de la confiance en moi !
Rhaaaaaaaaaaaaaa je vois que je pourrai continuer sur l’estime de soi et la confiance en soi mais ce serait trop long pour ce mail !
Toute bonne chose doit avoir une fin.
Par contre je continuerai dans ma lancée avec l’estime de soi en mai.
Bon mois d’avril !
Sandrine